Les pollutions électromagnétiques artificielles sont nées au 20^ème siècle avec l’arrivée de l’électricité dans les foyers.

Ce n’est que depuis peu que l’on considère le champ électrique et le champ magnétique émis par un fil électrique.

De l’utilisation de l’électricité (basse fréquence) à l’utilisation croissante des communications sans fil utilisant les hautes fréquences, l’être humain  multiplie les systèmes de communications avec ou sans fil et semble ne pas se soucier du brouhaha invisible d’ondes, que l’on nomme l’électrosmog, qu’il crée autour de lui.

Comme si la présence de ces champs électromagnétiques ne méritaient pas que l’on s’attarde sur l’effet qu’ils peuvent avoir sur la santé.

Ces technologies sans fil  Wifi, DECT, téléphones portables, se développent pour faciliter la vie pratique, éliminant progressivement l’utilisation des câbles.

Les industries des nouvelles technologies profitent de ces nouvelle opportunités ainsi que les populations qui ne sont malheureusement pas encore sensibilisées aux problématiques de l’impact des ondes électromagnétique sur la santé.

Jusqu’à quand ?

L’homme est une antenne émettrice-réceptrice,  de part sa composition en eau, de part la composition de ses cellules, jusqu’au fonctionnement électrochimique de son organisme.

Les ondes ont un effet sur tout être vivant et il est primordial d’en prendre conscience et de développer des technologies respectueuses de la santé et de l’environnement.

On distingue généralement deux groupes principaux d’ondes électromagnétiques :

Les ondes de basse fréquence liées essentiellement à l’utilisation de l’électricité et les ondes de hautes fréquences pour ce qui concerne l’utilisation des technologies sans fil tel que la Wifi, les antennes relais, le Bluetooth, les radars, etc.